Google lançait aujourd’hui son outil de traduction, qui avait été dévoilé accidentellement il y a près d’un an. Fait à noter : tout l’aspect de mise en relation des clients et pigistes, que traducteurs et agences avaient décrié à l’époque, en a été évacué; l’outil présenté n’est ni plus ni moins qu’un gestionnaire de mémoire de traduction gratuit.
En voici un aperçu :
J’en ai fait l’essai avec une page de Wikipedia et je dois avouer que ce n’est pas mal pour un outil en ligne. Il pourrait s’avérer utile pour le traducteur autonome qui ne souhaite pas remplir les poches de SDL-Trados et concurrents. Ai-je mentionné qu’il permet le partage des mémoires de traduction? Voilà une caractéristique absente de bien des outils coûtant plusieurs centaines de dollars...
Mais qu’en est-il du traducteur agréé? Hé bien, son code de déontologie ne lui permet pas d’utiliser un tel outil, pour cause de confidentialité. En effet, si j’ai bien compris la licence d’utilisation, les traductions réalisées à l’aide de l’outil viennent automatiquement améliorer le traducteur automatique Google Translate, même si on opte de ne pas partager ses mémoires de traduction. Le contenu confidentiel de son client risquerait ainsi de se voir révélé au grand jour.
Donc, pas touche pour les trad. a.!
En voici un aperçu :
J’en ai fait l’essai avec une page de Wikipedia et je dois avouer que ce n’est pas mal pour un outil en ligne. Il pourrait s’avérer utile pour le traducteur autonome qui ne souhaite pas remplir les poches de SDL-Trados et concurrents. Ai-je mentionné qu’il permet le partage des mémoires de traduction? Voilà une caractéristique absente de bien des outils coûtant plusieurs centaines de dollars...
Mais qu’en est-il du traducteur agréé? Hé bien, son code de déontologie ne lui permet pas d’utiliser un tel outil, pour cause de confidentialité. En effet, si j’ai bien compris la licence d’utilisation, les traductions réalisées à l’aide de l’outil viennent automatiquement améliorer le traducteur automatique Google Translate, même si on opte de ne pas partager ses mémoires de traduction. Le contenu confidentiel de son client risquerait ainsi de se voir révélé au grand jour.
Donc, pas touche pour les trad. a.!